|
|
Presse
> Revue de presse |
|
Michel VENEAU au journal TV de France 3 |
|
Ce 22 août 2022, Michel VENEAU était au journal TV de France 3.
|
|
|
Michel VENEAU au micro de France Bleu |
|
Ce 22 août 2022, Michel VENEAU était au micro de France Bleu.
|
|
|
Hauts-de-Seine : 130% d’augmentation moyenne du prix du chauffage pour plus de 24000 locataires HLM |
|
Le Parisien du 20 août 2022
C’est la mauvaise surprise de l’été. Les locataires du bailleur Hauts-de-Seine Habitat, le plus important du département, ont constaté une hausse spectaculaire de leurs provisions des charges locatives. En cause : la hausse du prix de l’énergie.
Ils la redoutaient, elle a fini par arriver. Au cœur de l’été, les locataires de Hauts-de-Seine Habitat, le plus important bailleur du département, ont découvert avec stupeur une nouvelle conséquence très concrète de l’envolée des prix de l’énergie. Ceux qui occupent un logement alimenté par le chauffage collectif ont été informés, via un courrier du bailleur social, d’une nette augmentation des provisions des charges locatives. Une hausse moyenne qui représenterait, selon l’union nationale des locataires indépendants (UNLI), une centaine d’euros supplémentaires sur chaque quittance de loyer.
Cent euros de plus chaque mois. C’est à peu près la somme qu’Elizabeth, 61 ans, doit en effet sortir depuis début juillet. De 64,23 euros, la facture de chauffage de cette artisane à la retraite, installée depuis 2020 dans un F3 du Plessis-Robinson, a bondi à 153,85 euros, soit une augmentation de 139 %. « Avec la guerre en Ukraine, l’inflation, je m’attendais à une hausse mais pas dans ces proportions-là, se désole-t-elle. Avec ces nouveaux tarifs, c’est près de la moitié de nos revenus, en comptant ceux de mon mari, qui part dans le loyer. On a sans cesse l’impression de s’appauvrir, que notre pouvoir d’achat diminue encore et encore… »
Un sentiment assez largement partagé parmi les occupants des 24 609 logements concernés. Par Olivier, qui, désormais, devrait payer 137,84 euros au lieu de 58,57 euros pour chauffer son trois-pièces. Mais aussi par Corinne, une autre habitante du Plessis qui a vu sa facture passer de 44 euros à 111 euros. Signe de l’inquiétude grandissante des locataires : les appels de détresse qui se multiplient, que ce soit au standard de l’union nationale des locataires indépendants ou sur la ligne solidarité, le numéro vert mis en place par Hauts-de-Seine Habitat.
« Beaucoup se demandent comment ils vont pouvoir payer, ceux qui touchent une petite retraite s’imaginent déjà devoir changer de logement, observe Michel Veneau, fondateur et président de l’association de locataires fondée en 1983. Si l’on se base sur les chiffres fournis par Hauts-de-Seine Habitat, l’augmentation mensuelle minimale est de 14 euros, l’augmentation moyenne est de 62 euros et l’augmentation maximale est de 203 euros. C’est loin d’être neutre. Surtout pour les populations concernées qui disposent souvent de faibles revenus. »
L’incompréhension est d’autant plus grande que le bailleur avait expliqué, dans son courrier aux locataires, que cette hausse du coût du chauffage était estimée, en moyenne, à 66,4 %. « En réalité, on est plus proche des 130 % regrette Michel Veneau. Dans certains cas, elle avoisine même les 200 %. » La raison de cet écart ? « L’estimation ne tient pas compte du rattrapage opéré sur la période allant de janvier à juin 2022, explique le directeur de Hauts-de-Seine Habitat, Damien Vanoverschelde. L’augmentation de 66,4 % est en fait une estimation sur une année pleine. »
Les factures de chauffage risquent pourtant de ne pas être plus légères en 2023. Mis en place le 1er novembre 2021, le bouclier tarifaire, étendu aux logements sociaux à la demande insistante des bailleurs, arrive en effet à son terme le 31 décembre. Et rien ne dit qu’il sera reconduit. « De toute façon, ce bouclier est un leurre, tranche Michel Veneau. Il ne protège pas, il ne fait que déplacer le moment où il faudra payer. »
Le président de l’UNLI estime que d’autres leviers sont à activer, notamment celui de la rénovation énergétique des HLM. Sur du plus court terme, il réclame le blocage des prix de l’énergie pour les logements ainsi que le gel de toute augmentation de loyer pour les logements sociaux en temps de crise. Il milite enfin pour une baisse de la TVA, une piste également défendue par Damien Vanoverschelde. « L’électricité et le gaz devraient être considérés comme des produits de première nécessité, voire de santé publique. »
En attendant, le directeur de Hauts-de-Seine Habitat, qui juge la situation alarmante, redoute une rentrée difficile, « une flambée des impayées » et « une précarisation des locataires ». |
|
|
Le blocage des loyers sur la table du gouvernement |
|
Le Monde du 20 mai 2022
Les associations demandent un gel de l’indice de référence des loyers, qui suit la courbe de l’inflation. Une mesure en faveur du pouvoir d’achat qui a l’avantage d’être peu coûteuse, pour l’Etat.
« Monsieur le président de la République, bloquez les loyers » : c’est le slogan de la carte postale que la Confédération nationale du logement (CNL) propose à tous ses adhérents d’adresser au palais de l’Elysée, en précisant bien qu’il n’est nul besoin de l’affranchir.
Deux autres associations de locataires, Consommation logement et cadre de vie (CLCV) et l’Union nationale des locataires indépendants (UNLI), réclament la même mesure pour tous les locataires, du parc privé comme du social. Car, sans intervention, l’inflation, qui se remet à galoper, risque mécaniquement de faire flamber les loyers dont l’indice de référence (IRL), appliqué une fois l’an, repose sur celui des prix à la consommation, qu’il répercute cependant avec un certain retard. L’IRL du premier trimestre 2022, paru le 15 avril, a déjà bondi de 2,48 %, et celui du deuxième trimestre, qui sera publié le 12 juillet, et plus sûrement encore celui d’octobre flirteront avec les 5 %, si la tendance actuelle de hausse des prix se confirme.
...
|
|
|
Quand un changement de poubelle peut faire baisser vos charges |
|
Le Figaro du 16 juillet 2021
Une association de locataires alerte sur le fait que dans les communes ayant installé des poubelles enterrées, les charges des locataires d’immeubles gardiennés devraient baisser. Explications.
C’est une subtilité qui n’a pas échappé à l’Union nationale des locataires indépendants (UNLI). Dans un immeuble doté d’un gardien, le salaire de ce dernier est récupérable auprès des locataires, à hauteur de 75% ou de 40%, selon les cas. Ce qui fait la différence? Le premier cas de figure s’applique si le gardien effectue l’entretien des parties communes et l’élimination des rejets et le second, s’il se contente de l’entretien des parties communes. Une distinction qui s’appuie sur deux décrets, l’un du 26 août 1967 et l’autre du 9 novembre 1982, précise Alexandre Guillemaud, chargé de mission à l’UNLI.
Or, bon nombre de communes se sont équipées ces dernières années de points d’apport volontaire enterrés, des poubelles enterrées du type de celles de notre illustration principale. Dans ce cas, ce sont les locataires qui apportent eux-mêmes directement leurs ordures ménagères à la poubelle et le gardien se trouve déchargé de cette mission. Conclusion logique pour l’UNLI: la récupération des charges devrait passer à 40%. L’association enregistre pourtant des remontées sur tout le territoire (dans l’Est, en Normandie, du côté de Pau, de Bordeaux, de la capitale ou des Hauts-de-Seine) indiquant que des bailleurs sociaux (elle n’a rien noté de tel pour des propriétaires-bailleurs particuliers) continuent de récupérer 75 % du montant des charges de gardiennage.
«L’argument qui nous est opposé quelques fois, c’est que le gardien ferait le ménage de ces points d’apports volontaires, ce qui maintient son volume de travail mais cela ne tient pas, explique Alexandre Guillemaud. Ces poubelles enterrées étant situées sur le territoire de la commune plutôt que sur la copropriété, il n’y a pas de raison que le gardien s’en occupe.» La ministre du Logement, Emmanuelle Wargon, a été interpellée sur ce sujet afin qu’elle apporte des précisions et certains parlementaires s’emparent de la question aussi bien au Sénat qu’à l’Assemblée nationale.
|
|
|
A Nanterre, une association de locataires réclame 1,6 million d'euros à un bailleur social |
|
Les Echos du 27 aout 2021
L'UNLI de Nanterre demande à Nanterre Coop Habitat de rembourser les charges d'entretien des espaces verts qu'elle juge indûment prélevées. En effet, ces espaces verts ne sont pas privatisés mais ouverts au public.
Dans les copropriétés, l'entretien des espaces verts est une dépense prise en charge par les locataires, via les charges. Mais dans certains cas, ceux-ci n'ont pas à assumer cette dépense. C'est en tout cas ce que veut faire valoir l'Union nationale des locataires indépendants de Nanterre, qui demande au bailleur social Nanterre Coop Habitat de rembourser l'intégralité des charges d'entretien des espaces verts de 38 résidences sur ces trois dernières années.
Au total, le montant exigé s'élève à 1,6 million d'euros. Pour réclamer une telle somme, l'UNLI Nanterre s'appuie sur une jurisprudence du 30 novembre 2005. Selon la Cour de Cassation, dans l'arrêt n° 04-14508, les charges des espaces verts non réservés exclusivement aux locataires ne peuvent pas être récupérées auprès de ces derniers.
« Lors du contrôle annuel des charges, nous avons constaté que dans les trois quarts des résidences du parc de Nanterre Coop habitat, les espaces verts sont ouverts au public, n'importe qui peut venir », explique Alexandre Guillemaud, président de l'UNLI Nanterre. Ces espaces verts ne peuvent donc pas être considérés comme privés, leur entretien ne peut pas être à la charge des locataires.
« Certains espaces verts de ces résidences sont même devenus des passages publics », poursuit Alexandre Guillemaud. Le président de l'UNLI Nanterre a donc envoyé un courrier à Nanterre Coop Habitat le 17 août dernier, s'appuyant sur cet arrêté de la Cour de Cassation, pour demander le remboursement de ces charges indûment prélevées.
Les 38 résidences concernées représentent 7. 236 logements, soit 224,82 euros par logement sur les trois dernières années (délai maximum de demande de remboursement prévu par la loi). « Nous avons également demandé l'arrêt de ces charges pour les années à venir. Cela représenterait une économie de 75 euros par an et par logement, ce qui n'est pas négligeable, surtout pour les foyers modestes qui vivent dans des logements sociaux », précise Alexandre Guillemaud.
... |
|
|
Nanterre : leurs boîtes aux lettres dégradées, ces habitants ne reçoivent plus de courrier |
|
Actu.fr le 10 juillet 2019
Depuis près de trois semaines, des habitants d'un immeuble de Nanterre (Hauts-de-Seine) sont privés de courrier. La faute à des boites aux lettres qui ne sont plus sécurisées.
L’affiche est collée sur une vitre depuis le lundi 24 juin 2019. Directe, mais on ne peut plus ennuyeuse pour les habitants. Dans l’immeuble du 10 avenue de la liberté à Nanterre (Hauts-de-Seine), une partie du courrier n’est plus distribuée par La Poste. La raison est simple : « Votre batterie de boite à lettres ne ferme plus » est-il indiqué sur l’affiche.
Sauf que près de trois semaines plus tard, la situation n’a pas changé. Contactée par Actu Hauts-de-Seine, La Poste explique : Les boites aux lettres ne sont pas fermées. Il y a donc un problème de sécurisation du courrier. Nous sommes en contact avec le syndic de l’immeuble qui doit effectuer les travaux.
Un discours qui tranche avec la réponse apportée par le bailleur à l’Union nationale des locataires indépendants de Nanterre, qui s’est fait l’écho du sujet : « Le bailleur (HML IRP) a indiqué à l’amicale, il y a peu, que les réparations avaient été effectuées, il y a quelques jours », indique l’UNLI. Mais ce n’est pas le cas et le courrier n’est toujours pas distribué.
Dès lors, il est donc demandé aux habitants d’aller retirer leur courrier ainsi que leurs colis à l’antenne principale de La Poste de Nanterre, située à moins d’un kilomètre de leur lieu d’habitation. Selon l’UNLI, d’autres immeubles des alentours ont aussi été privés de courrier. Mais seulement brièvement ayant, quant à eu « installés des caméras de vidéoprotection. La Poste a, ainsi, remis en route la distribution du courrier. » |
|
|
Michel VENEAU aux Grandes Gueules de RMC |
|
Ce 1er juillet 2019, Michel VENEAU était aux Grandes Gueules de RMC.
|
|
|
L'UNLI au journal TV de M6 |
|
Ce 1er décembre 2017, Alexandre GUILLEMAUD, président de l'UNLI Nanterre, était au journal TV de M6.
|
|
|
Nanterre : l’association de locataires veut un bâtiment « Simone Veil » |
|
Le Parisien du 28 juillet 2017
Trois bâtiments d’un nouvel ensemble portent le nom de résistants et de déporté. Les habitants militent pour que le dernier ait celui de celle qui a été aussi une grande féministe.
L’union nationale des locataires indépendants de Nanterre (UNLI) a demandé à l’Office public de l’habitat (OPH) l’attribution du nom de Simone Veil, décédée la 30 juin, à un bâtiment. L’association propose ce nom pour la future résidence construite par Kaufmann & Broad, dans le quartier du chemin de l’île/Hoche.
Le dernier conseil d’administration de l’OPH a voté pour les noms de Germaine Tillion, grande résistante, de Lucien Ducastel, déporté car communiste pendant la Seconde Guerre mondiale, et de Vincent Pascucci, ancien résistant et grande figure de Nanterre décédé le 8 mars dernier, attribués aux trois nouvelles résidences du même quartier.
La résidence située dans la rue Germaine Tillion, construite en 2015, actuellement dite Hoche-Avenir s’appellera désormais résidence Germaine Tillion. La résidence « Hoche-Doucet » construite en 2013 à l’angle de la rue André Doucet et de l’avenue Hoche est nommée résidence Lucien Ducastel. Le bâtiment en cours de construction à l’angle de l’avenue Hoche et du boulevard de la Seine dont la fin des travaux est prévue pour 2018 portera le nom de résidence Vincent Pascucci.
Des immeubles avec 60 % d’habitations privées et 40 % de logements sociaux
L’UNLI souhaite donc que le quatrième bâtiment neuf du secteur prenne le nom de Simone Veil. Il s’agit de l’immeuble qui sera situé le long de la future voie nouvelle qui longera la résidence historique Komarov, déjà gérée par l’OPH de Nanterre. La fin du chantier est prévue pour 2018-2019.
« Nous profitons de l’opportunité de cet immeuble pour lequel il n’y a pas encore de proposition de nom pour soumettre celui de Simone Veil », explique Alexandre Guillemaud, président de l’UNLI Nanterre. « Nommer ce bâtiment Simone Veil serait une belle occasion de rester dans l’esprit de l’hommage aux grands résistants et déportés français qui est fait dans le quartier Hoche », poursuit-il.
Les quatre bâtiments en question sont mixtes : ils abritent 60 % d’habitations privées et 40 % de logements sociaux, conformément au PLU de la ville. Chaque immeuble comporte une entrée pour les logements privés et une autre pour les logements publics. Les noms ainsi choisis concernent la partie publique de ces résidences.
|
|
|
Nanterre : une marche blanche pour les enfants défenestrés |
|
Le Parisien du 21 avril 2017
Le 18 mars dernier, un garçonnet de deux ans et demi a fait une chute mortelle du 15e étage d’une tour du quartier des Fontenelles. Des locataires ont lancé une pétition exigeant la «sécurisation des fenêtres» du quartier.
Ils se rassembleront avec des bougies et des fleurs pour une marche blanche organisée à l’initiative de l’association Les gamins «en souvenir des enfants défenestrés », ce samedi après-midi à Nanterre, dans le quartier du Parc sud. Le dernier drame s’est produit le 18 mars dernier. Un garçonnet de deux ans et demi a fait une chute mortelle du 15e étage d’une tour du quartier des Fontenelles.
Des locataires ont lancé à la suite de ce terrible accident une pétition exigeant la « sécurisation des fenêtres des logements situés dans le quartier Parc-Sud de Nanterre », texte signé par plus de 400 personnes. Et l’Union nationale des locataires indépendants (UNLI) a écrit aux bailleurs sociaux de la ville pour trouver une solution pérenne afin de davantage sécuriser les fenêtres. Elle prévoit aussi des actions de prévention à destination des familles. |
|
|
Clamart lance le logement social à points |
|
Le Parisien du 8 janvier 2017
Partout en Ile-de-France, décrocher un appartement relève souvent du chemin de croix. Avec, souvent, des soupçons de favoritisme, lorsque le demandeur se voit notifier un refus. Pour tenter d’y remédier, l’office HLM de Clamart a décidé de mettre en place, ce mois de janvier, un système d’attribution à points. Comme à Rennes (Ille-et-Vilaine), Palaiseau (Essonne), et dans plusieurs arrondissements de Paris.
« Très souvent, les demandeurs ne comprennent pas pourquoi pas ils n’ont pas obtenu leur logement, car ils considèrent leur situation très urgente », justifie le maire (LR) et président de Clamart Habitat, Jean-Didier Berger. L’élu avait fait de cette mesure une promesse de campagne en 2014. « Compte tenu de ce qui s’est passé dans notre ville, ce système apportera une garantie de transparence pour le public », assure-t-il. Allusion à la condamnation de l’ex-maire (PS) et sénateur, Philippe Kaltenbach : en 2015, poursuivi pour avoir reçu de l’argent en échange de l’attribution d’un logement HLM, il a écopé de deux ans de prison, dont un ferme. Décision qu’il contestera en appel à Versailles, en mai prochain.
Désormais, chaque demandeur se verra attribuer un nombre de points selon une trentaine de critères. Et si sa demande est refusée, il saura quel est le score de la personne qui a décroché le logement à sa place.
Au conseil d’administration de Clamart Habitat, la grille à points a convaincu les représentants des locataires. « C’est une mesure qui permet de chiffrer le véritable degré d’urgence de la demande, apprécie Marcelle Moussa, présidente de l’antenne de l’UNLI (Union nationale des locataires indépendants). Parfois, quelqu’un peut avoir une demande de logement très ancienne, mais il n’a pas forcément un besoin urgent. » De son côté, le groupe d’opposition Clamart Citoyenne appellait à la mise en place de ce système « transparent » depuis trois ans. « À condition, bien sûr, que sa mise en œuvre soit, elle aussi, transparente », prévient Pierre Carrive, qui regrette néanmoins que l’opposition n’ait pas été associée. |
|
|
L'UNLI dans La Quotidienne sur France 5 |
|
Ce midi, Michel VENEAU, président-fondateur de l'UNLI, intervenait en tant qu'expert dans l'émission La Quotidienne de France 5 sur le thème "Locataires, propriétaires, quels sont nos droits ?"
|
|
|
|
|
|
- L'UNLI s'inquiète pour le pouvoir d'achat des locataires ! Lire la suite |
|
|
|
|
|
Indice de référence des loyers
2ème trimestre 2022 |
+ 3,60 % |
135,84 |
1er trimestre 2022 |
+ 2,48 % |
133,93 |
4ème trimestre 2021 |
+ 1,61 % |
132,62 |
3ème trimestre 2021 |
+ 0,83 % |
131,67 |
2ème trimestre 2021
|
+ 0,42 % |
131,12 |
1er trimestre 2021 |
+ 0,09 %
|
130,69 |
|
|
|
|
|
|
|
|