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Nos communiqués sont transmis régulièrement aux journalistes et médias,

si vous souhaitez les recevoir, merci d’envoyer vos coordonnées à presse@unli.fr

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L’UNLI demande au Gouvernement des actions concrètes pour aider les français

L’UNLI demande au Gouvernement des actions concrètes pour aider les français à limiter leurs dépenses d’énergie

 

Afin de réduire l’impact de l’inflation du coût des énergies, redouté par tous, Madame la Première ministre a précisé, à la presse, que « tout serait fait pour contenir les augmentations des prix de l'énergie afin qu'elles soient soutenables pour le portefeuille des ménages français ». Par ailleurs, le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique considère que le maintien du bouclier tarifaire coûterait 50 milliards d’euros mais, le ministre des comptes publiques promet de maintenir le bouclier sans préciser les conditions. Qui serait protégé ? Qu’en est-il du rattrapage des pertes dues au gel des prix pendant 12 mois et plus ?

L’UNLI a déjà proposé à la Première ministre des mesures concrètes et notamment la baisse de la T.V.A. sur les prix de l’électricité et du gaz, comme l’Allemagne et la Belgique l’ont fait. Une pétition a d’ailleurs été lancée : https://www.change.org/UNLI_demande_baisse_TVA_tarif_Gaz_Electricite

L’UNLI propose en outre de découpler le prix de l’électricité sur le prix du gaz comme y songe l’Union européenne, cela afin que les tarifs de l’électricité ne suivent pas l’augmentation du gaz.

A plus long terme, l’UNLI demande au Gouvernement de mettre en place des plans d’actions pour favoriser la rénovation énergétique des logements en particulier ceux gérés par les bailleurs sociaux financé par la réduction des cotisations diverses (notamment RLS et CGLLS) qui représentent près de 1,5 milliards d’euros par an qui entravent les capacités d’investissement de ces bailleurs.

Face à l’inflation jamais égalée des prix de l’énergie, l’UNLI demande à la Première ministre d’agir pour le portefeuilledes ménages français avec des propositions à court et à long termes.

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Les élections de locataires débutent, l’UNLI recherche les futurs représentants des locataires

Les élections de locataires débutent, l’UNLI recherche les futurs représentants des locataires


Tous les quatre ans, les représentants de locataires sont élus par l’ensemble des locataires de chaque bailleur social. A l’automne 2022, les locataires vont choisir leurs nouveaux représentants qui siègeront aux conseils d’administration ou de surveillance de chaque bailleur social.

Après avoir négocié les modalités électorales avec les bailleurs sociaux, l’UNLI, acteur de défense des locataires, lance un appel aux élus des locataires de demain pour représenter, en toute indépendance, les locataires et défendre leur qualité de vie.

Chez chaque bailleur, une liste de locataires candidats doit être et déposée dès la mi-septembre. Avant le scrutin, chaque liste présentera son programme et mobilisera les électeurs à voter durant 14 jours ; le vote ayant lieu soit par correspondance, soit électroniquement sur internet. Certains petits bailleurs restent encore avec un vote à l’urne.

Le jour du scrutin, les nouveaux représentants des locataires seront déclarés élus et prendront leurs fonctions de manière immédiate pour un mandat de 4 ans. Michel VENEAU, président national, déclare : « La fonction de représentant élu des locataires est bénévole mais tellement enrichissante humainement et socialement. Il permet ainsi de porter la parole des locataires et se battre pour améliorer leur quotidien. »

Si un locataire souhaite devenir le représentant de ses voisins et ses amis, il doit contacter l’UNLI (unli@unli.fr ou 09.77.74.11.21) qui, grâce à son expérience, l’accompagnera dans sa démarche et l’aidera à monter une liste de candidats pour le faire élire.

L’UNLI est donc à la disposition des locataires motivés pour œuvrerdans l’intérêt commun des locataires et de leur lieu de vie !

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L’UNLI demande le gel des loyers et des charges locatives liées à l’énergie

L’UNLI demande le gel des loyers et des charges locatives liées à l’énergie

 

Les locataires du bailleur social Hauts-de-Seine Habitat ont reçu avec leur quittance de loyer une augmentation de plus de 130 % des provisions de charges locatives de chauffage collectif. Cette augmentation est due à la flambée des tarifs de l’énergie.

Michel VENEAU, président national de l’UNLI et représentant des locataires à Hauts-de-Seine Habitat, s’inquiète de l’ampleur de cette d’augmentation même si elle devrait éviter des régularisations excessives en 2023.

En pratique, les quittances des locataires de ce bailleur augmentent d’une centaine d’euros en moyenne. Certains locataires n’auront pas les moyens de payer leur loyer et se trouveront dans une situation catastrophique d’autant que les APL ne suivent pas les hausses constatées.

Le gouvernement a mis en place, il y a quelques mois, un bouclier tarifaire qui ne limite pas les augmentations de factures d’énergie et ne fait que déplacer le moment de payer. Il est à noter que les loyers devraient également augmenter de 3 % prochainement.

Afin d’aider financièrement les locataires durant cette période d’inflation, l’UNLI demande au gouvernement de modifier le bouclier tarifaire en bloquant les prix de l’énergie pour les logements ainsi que geler toute augmentation de loyer pour les logements sociaux.

 

Le 18 août 2022

UNLI

Le gouvernement refuse le blocage des loyers pour tous les locataires demandé par l’UNLI

Le gouvernement refuse le blocage des loyers pour tous les locataires demandé par l’UNLI

 

Ce matin, le gouvernement annonce mettre en place un « bouclier tarifaire » sur les loyers en plafonnant, pendant un an, toute augmentation à un maximum de 3,5 %. Cette mesure passera devant le conseil des ministres le 6 juillet prochain pour une application rétroactive au 1er juillet.

Depuis plusieurs mois, l’UNLI demande le gel des loyers compte tenu d’une part des difficultés des locataires les plus fragile du fait de la crise sanitaire sans précédent et d’autre part à cause de l’inflation qui augmente de manière très forte.

A nouveau, le Président national de l’UNLI, Michel VENEAU, s’inquiète des risques futurs impayés de loyer de la part de locataires qui n’auraient plus les moyens financiers de payer leur loyer augmenté auquel il faudra ajouter un dérapage des charges locatives (gaz, électricité, chauffage …).

L’UNLI demande au Gouvernement de revoir leur proposition en adoptant le blocage des loyers pour l’ensemble des logements sociaux, intermédiaires ou libres, dans lesquels de nombreux locataires aux revenus modestes vivent, en prévoyant une compensation pour les bailleurs les plus modestes pour qui les loyers perçus sont un complément de revenu mensuel indispensable.

Les médias se font échos également la tenue d’une réunion entre la ministre  de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Amélie de Montchalin, et les associations de défense des locataires, dans les prochains jours, ainsi, à cette occasion, l’UNLI renouvellera sa demande.

 

Le 27 juin 2022

UNLI

L’UNLI demande un blocage des loyers pour tous les locataires

L’UNLI demande un blocage des loyers pour tous les locataires

 

Le gouvernement envisagerait un blocage des loyers. Sur le principe, l’UNLI y est particulièrement favorable et l’avait faire savoir, il y a plusieurs mois, compte tenu d’une part des difficultés des locataires les plus fragile du fait de la crise sanitaire sans précédent et d’autre part à cause de l’inflation.

Cette inflation a pour conséquence l’augmentation au premier trimestre 2022 de l’indice de référence des loyers (IRL) de 2,48 % et qui risque de déraper au second trimestre de près de 5 %.

Le Président national de l’UNLI, Michel VENEAU, s’inquiète des risques futurs impayés de loyer de la part de locataires qui n’auraient plus les moyens financiers de payer leur loyer augmenté auquel il faudra ajouter un dérapage des charges locatives (gaz, électricité, chauffage …).

Toutefois, les fuites concernant le blocage des loyers ne précisent pas si tous les loyers, pour une habitation principale, seront concernés ou si ce blocage concernerait uniquement les loyers des logements du secteur social.

L’UNLI demande que ce blocage concerne l’ensemble des logements sociaux, intermédiaires ou libres, dans lesquels de nombreux locataires aux revenus modestes vivent, quitte à prévoir une compensation pour les bailleurs les plus modestes pour qui les loyers perçus sont un complément de revenu mensuel indispensable.

 

Le 19 mai 2022

UNLI

L'UNLI s'inquiètepour le pouvoir d'achat des locataires

Augmentations de l’IRL et des charges liées aux prix de l’énergie, l’UNLI s’inquiète pour le pouvoir d'achat des locataires !

 

L’INSEE vient de publier l’indice de référence des loyers (IRL) pour le premier trimestre 2022 qui bondit de 2,48 %. Cette augmentation, due à l’inflation, est inédite depuis de nombreuses années. La conséquence est une augmentation des loyers des locataires du secteur privé.

Les loyers du secteur social sont, quant à eux, adossés à l’IRL du deuxième trimestre qui sera publié vers le mois de juillet. On ne peut que redouter une augmentation identique voir supérieure !

Pendant le même temps, les charges locatives récupérables grimpent également concernant celles liées à l’énergie. Le gouvernement a bien mis en place un « bouclier tarifaire » mais « il a une durée très limitée et comporte en plus de nombreux trous dans la raquette. Ainsi, de nombreux locataires ne peuvent pas avoir accès à cette protection » déclare le Président national de l’Union Nationale des Locataires Indépendants (UNLI), Michel VENEAU.

Il est à noter qu’après la fin de ce bouclier gouvernemental, les prix de l’énergie risquent d’augmenter de façon dangereuse et donc faire flamber la facture des charges pour les locataires.

L’UNLI s’inquiète de ces augmentations qui portent une atteinte grave au pouvoir d’achat des locataires et notamment ceux du secteur social. Ce sont les plus faibles qui seront les premières victimes de ces hausses.

L’UNLI demande au Gouvernement de limiter ses augmentations de loyers, via un gel des loyers et des tarifs de l’énergie en réduisant le taux des multiples taxes qui contribuent à ces augmentations sans proportion avec l’évolution des salaires et des retraites et en désindexant le prix de l’électricité avec le prix du gaz.

 

Le 28 avril 2022

UNLI

Hausses des tarifs d’électricité

Hausses des tarifs d’électricité


Après une hausse de 38 % en 2021 du prix du gaz, 15 % du prix des carburants depuis le 1er janvier 2021, l’électricité devrait augmenter de près de 10 % début 2022. En 10 ans, l’électricité aura augmenté de plus de 60 % ! Pour les ménages chauffés à l’électricité cette nouvelle hausse de se traduira par une augmentation de 150 € de la facture.

L’UNLI s’inquiète de ces augmentations qui portent une atteinte grave au pouvoir d’achat des locataires et notamment ceux du secteur social. Ce sont les plus faibles qui seront les premières victimes de ces hausses.

L’UNLI demande au Gouvernement de limiter ses augmentations des tarifs de l’énergie en réduisant le taux des multiples taxes qui contribuent à ces augmentations sans proportion avec l’évolution des salaires et des retraites.

 Le 23 septembre 2021

UNLI

Non aux économies budgétaires sur le dos des locataires !

Non aux économies budgétaires sur le dos des locataires !

 

Il y a quelques jours, le Conseil national de l’Habitat (CNH) a donné un avis négatif au projet de texte visant à corriger les montants de RLS (réduction de loyer solidarité) en les augmentant.

L’augmentation du RLS serait globalement néfaste au locataire car cela induirait une baisse de son loyer par le bailleur mais, en parallèle, une baisse de ses APL, soit un équilibre nul pour le locataire en fonction du montant de ses revenus. Mais pour son bailleur, cette baisse entrainerait une réduction importante de ses ressources ayant pour conséquences un budget plus faible pour effectuer les travaux nécessaires aux résidences, à leur entretien et à la construction de logements neufs.

Nous regrettons la politique actuelle de l’État qui consiste à faire des économies budgétaires (1,3 milliards d’euros) sur le dos des locataires de logements sociaux et de leur qualité de vie ! Au contraire, des moyens supplémentaires doivent être alloués au secteur HLM pour permettre aux bailleurs de rénover massivement les résidences.

L’UNLI n’étant pas encore membre du conseil national de l’habitat, malgré nos multiples demandes à la Ministre du Logement, émet également un avis négatif à cette proposition de texte de correctif RLS pour 2021 proposé par le Gouvernement.

Le 20 septembre 2021

UNLI

Arrêt de la Commission départementale de Conciliation du Val-de-Marne le 1er septembre 2021

Arrêt de la Commission départementale de Conciliationdu Val-de-Marne le 1er septembre 2021

 

Lors de la dernière assemblée générale de la Commission départementale de conciliation (CDC) du Val-de-Marne, ses membres ont été informés qu’à partir du 1er septembre prochain, le fonctionnement de ladite commission sera gelé pour cause de manque de personnel à la DRIHL du Val-de-Marne.

Ce gel va ainsi bloquer de nombreux dossiers concernant les litiges entre bailleurs et locataires notamment les conflits relatifs aux augmentations de loyer pour lesquels le passage en CDC est obligatoire.

Depuis plusieurs années, le nombre de saisines est en constante augmentation. En 2020, ce sont plus de 400 dossiers qui ont été traités permettant ainsi à des centaines de locataires de trouver enfin une issue à leur dossier tout en évitant d’aller en justice et, en conséquence, du temps et des frais conséquents.

Les locataires val-de-marnais n’ont pas à subir un manque de personnel au sein de la Direction Régionale et Interdépartementale de l'Hébergement et du Logement.  

L’UNLI a écrit à la Préfète du Val-de-Marne, avec copie à la Ministre du Logement et au nouveau Président du Conseil départemental, afin de tout mettre en œuvre avant le 1er septembre prochain pour permettre un fonctionnement normal de la CDC conformément à la loi.

Le 10 août 2021

UNLI

Communiqué - Demande du gel des loyers au Président de la République

Le Président national de l'UNLI a écrit au Président de la République, Emmanuel MACRON, pour demander le gel des loyers en 2021.

Par courrier en date du 29 octobre courant, l’Union nationale locataires indépendants (UNLI) demande au Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON, l’application du gel des loyers, pour les logements sociaux, en 2021.

Chaque année, les bailleurs sociaux peuvent décider d’augmenter ou non les loyers de leurs locataires en fonction de l’indice de révision des loyers (I.R.L), fixé par l’INSEE.

Lors de son intervention télévisée, le Président de la République a exprimé sa volonté de protéger les français notamment les plus fragiles au niveau économique, c’est dans ce sens que l’UNLI demande le gel des loyers, dans les logements sociaux, pour l’année 2021. Cette mesure permettra aux français de pouvoir respirer un peu financièrement et notamment au vu des augmentations des tarifs de autres frais courant (électricité, gaz, assurances, etc…)

Les administrateurs UNLI représentant les locataires, au sein de chaque conseil d’administration des bailleurs sociaux, portent déjà cette demande en ce sens afin de donner une petite aide financière aux locataires français. Plusieurs bailleurs sociaux ayant déjà accepté notre revendication !


Courrier au Président de la République

Le 29 octobre 2020

UNLI

Communiqué - Les prix de l’électricité et du gaz augmentent à nouveau !

Les prix de l’électricité et du gaz augmentent à nouveau !


Le 1er août dernier, les tarifs réglementés de l’électricité et du gaz ont augmenté pour les ménages français respectivement de 1,55 % et de 1,3 % avec l’accord du Gouvernement. Ces augmentations impactent lourdement les français alors que, pendant ce temps, les salaires et les retraites ne suivent pas cette même courbe.
Cette hausse, ajoutée à l’augmentation de 7,2 % en 2019, va se traduire à une hausse de 200 € pour les ménages chauffés à l’électricité. En 10 ans, l’électricité aura augmenté de plus de 50 % !

L’UNLI déplore cette hausse des tarifs, en pleine crise de la Covid-19, qui va donc, à nouveau, réduire le pouvoir d’achat des consommateurs français alors que la France vient de rentrer en récession à la suite de la chute du PIB de notre pays.
Nous nous étonnons aussi de voir peu de syndicat critiquer cette décision gouvernementale. Il est vrai que cette hausse des tarifs, subie par les consommateurs, se traduit aussi par une augmentation des subventions au comité d’entreprise d’EDF géré par les syndicats.

L’UNLI demande au Gouvernement de limiter la hausse des tarifs d’EDF à celle des salaires et des retraites !

Le 5 août 2020

UNLI

Communiqué - Pour la suspension des loyers des professionnels par les bailleurs sociaux !

Pour la suspension des loyers des professionnels par les bailleurs sociaux !

De nombreux commerçants, artisans ou professions libérales sont installés dans des locaux loués par des organismes de logements sociaux. Ils contribuent à l’animation sociale et commerciale des quartiers où ils sont installés et sont un facteur de lien social pour les populations parmi les plus défavorisées.

Compte tenu des mesures de confinement destinées à lutter contre le virus #COVID19, de nombreux professionnels ne sont pas autorisés à exercer leurs activités, se retrouvent confrontés à des difficultés économiques et risquent de ne jamais rouvrir leurs boutiques.

Afin de limiter les conséquences financières pour les professionnels concernés et de permettre à de nombreuses résidences de voir leurs commerces continuer à vivre dans l’intérêt des locataires, l’UNLI demande à tous les bailleurs sociaux de suspendre les loyers des professionnels visés par les mesures de confinement.

De même, l’UNLI demande aux bailleurs sociaux d’aider les locataires qui auraient des difficultés à payer leur loyer en cas de chômage partiel obligatoire.

Le 24 mars 2020

UNLI

Le prix de l’électricité augmente encore !

Le prix de l’électricité augmente encore !

Le 1er février prochain, le tarif réglementé de l’électricité va augmenter pour les ménages français à hauteur de 2,4 % avec l’accord du Gouvernement.

Cette augmentation impacte lourdement les français alors que, pendant ce temps, les salaires et les retraites ne suivent pas cette même courbe.

Cette hausse, ajoutée à l’augmentation de 7,2 % en 2019, va se traduire à une hausse de 200 € pour les ménages chauffés à l’électricité. En 10 ans, l’électricité aura augmenté de plus de 50 %.

L’UNLI déplore cette hausse des tarifs qui va donc encore réduire le pouvoir d’achat des consommateurs français.

Nous nous étonnons aussi de voir peu de syndicat critiquer cette décision gouvernementale. Il est vrai que cette hausse des tarifs, subie par les consommateurs, se traduit aussi par une augmentation des subventions au comité d’entreprise d’EDF géré par les syndicats.

L’UNLI demande au Gouvernement de limiter la hausse des tarifs d’EDF à celle des salaires et des retraites.

Le 30 janvier 2020

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1er juillet 2019

Encadrement des loyers à Paris

Dès aujourd’hui, les loyers sont encadrés au sein du parc locatif privé parisien pour une durée test de 5 ans. Cela concernant uniquement les nouveaux et renouvellements de baux, signé à partir de ce jour.

L’UNLI est favorable à une maitrise du montant des loyers afin de permettre au plus grand nombre de pouvoir se loger dans la capitale et éviter qu’une catégorie de population, qui n’a pas accès au logement social, n’aie d’autres choix que se tourner vers la banlieue parisienne ou la province. Ce dispositif d’encadrement des loyers devrait permettre à de nombreux ménages de trouver un logement correspondant à leurs revenus.

Mais, cette mesure présente aussi des aspects dangereux notamment pour l’investissement locatif et les travaux de rénovation dans les immeubles en location. Les prix de l’immobilier à Paris, à l’achat, continuant à augmenter, les propriétaires effectueront moins de travaux dans les logements et les immeubles locatifs et les investisseurs privilégieront les communes n’ayant pas encadré les loyers. Par ailleurs, certains bailleurs préfèreront risquer de se tourner vers la location saisonnière (type AirBnB) qui n’est pas concernée par cette mesure d’encadrement des loyers.

Cette mesure devrait faire l’objet, dans un délai d’un an, d’un bilan afin de mesurer les effets positifs et négatifs sur le secteur locatif parisien.

Pour précision, une autre mesure permet déjà de contrôler les augmentations de loyers, il s’agit de l’indice de référence des loyers qui est fixé par l’INSEE et peut-être modulé, en fonction des départements, par arrêté préfectoral.

L’UNLI va donc suivre attentivement l’application de cette mesure et espère que le côté positif sera prépondérant sur les côtés négatifs.

Le 1er juillet 2019

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12 novembre 2018

La démocratie triomphe !

Tous les 4 ans, les locataires du secteur social sont appelés à élire leurs représentants dans les conseils d’administration des organismes de logements sociaux. Il s’agit d’un scrutin de listes. Mais, la loi « égalité et citoyenneté » de janvier 2017 a limité la liberté de présentation aux seules associations représentées dans trois organismes nationaux (article L. 421-9 du code de la construction et de l’habitation).

L’Union Nationale des Locataires Indépendants (UNLI), via l’association de locataires Vivre Mieux à Plaine Commune Habitat (VMPCH), a déposé une liste de candidats chez le bailleur Plaine Commune Habitat avec le soutien et l’affiliation de la fédération nationale Famille de France. En 2014, VMPCH avait obtenu deux élus au sein du conseil d’administration du bailleur.

La Confédération Nationale du Logement (CNL), mécontente de la présence de cette dernière, a donc demandé l’invalidation de la liste au motif que son affiliation à l’UNLI et à la fédération nationale Familles de France ne serait pas avérée. En réalité, la CNL voulait écarter cette association afin de, comme le déclarait son avocat, récupérer la part de subvention annuelle que cette association indépendante peut espérer percevoir.

Aujourd’hui, le tribunal d’instance de Saint-Denis a débouté la CNL de toutes ses prétentions et a confirmé l’éligibilité de la liste VMPCH au conseil d’administration de Plaine commune Habitat (93).

C’est une victoire pour la démocratie associative et toutes les associations indépendantes de locataires et notamment les 400 candidats présentés par l’UNLI dans toute la France !

Le 12 novembre 2018

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17 août 2017

L’UNLI agréée association de défense des consommateurs dans les Hauts-de-Seine

Le 8 août dernier, le Préfet des Hauts-de-Seine vient de délivrer par arrêté l’agrément « association de défense des consommateurs » à l’association Union Nationale des Locataires Indépendants (UNLI).

Cet agrément permet notamment à l’UNLI d’exercer les actions en justice comme le prévoit l’article L. 811-1 du Code de la Consommation depuis le 14 août et pendant une durée de 5 ans renouvelable.

Comme depuis sa création en juin 1983, l’UNLI continue de défendre et informer les locataires et les consommateurs altoséquanais afin que leurs droits soient au mieux respectés dans le département.

Le 17 août 2017

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14 mars 2017

L’UNLI interpelle les candidats à l’élection présidentielle

L’UNLI, par la voix de son président national Michel VENEAU, a adressé aujourd’hui aux candidats à l’élection présidentielle ayant obtenu leurs 500 parrainages une lettre ouverte concernant les articles L.421-9, L.422-2-1 et L.481-6 du code de la construction et de l’habitation issues de la loi « Egalité et Citoyenneté ».

Ces articles interdisent aux associations indépendantes de locataires de présenter des listes aux élections des représentants de locataires dans les organismes de logements sociaux.

Ces dispositions anti-démocratiques reviennent sur la liberté de représentation des locataires instituée il y a près de 35 ans. Imaginez que ne puissent se présenter aux élections politiques que les candidates issus d’une liste fixée par le gouvernement. Dans quel régime serions-nous ?

L’UNLI demande, au nom de toutes les associations indépendantes de locataires, aux candidats de s’engager à revenir, s’ils sont élus Président de la République Française, sur ces mesures avant les prochaines élections de locataires qui auront lieu entre le 15 novembre et le 15 décembre 2018.

Le 14 mars 2017

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20 septembre 2016

L'UNLI se félicite de l’extension des cautions VISALE

 Le 30 septembre 2016, les cautions VISALE, qui permettent de garantir le paiement des loyers, seront étendues à tous les jeunes de moins de 30 ans sans condition d'emploi. Ainsi, les jeunes de moins de 30 ans voulant se loger pourront avoir une sécurité à présenter aux bailleurs : la sécurité de revenus locatifs pour ce dernier.

 Grâce à l'engagement d'Action Logement, les discriminations faites aux jeunes par certains bailleurs sur les garants sont maintenant terminées. En deux jours, les futurs locataires déposent leur dossier et reçoivent la réponse d'acceptation ou de refus à leur demande.

 Depuis sa création au début de l'année 2016, déjà plus de 3 500 locataires ont pu bénéficier de ce service et ainsi rassurer leur propriétaire. Nous espérons que de plus en plus de locataires jeunes grâce à ce système et son extension à tous les jeunes de moins de 30 ans !

Le 20 septembre 2016

UNLI

12 septembre 2016

L'UNLI est candidate à la Fédération des OPH

 Pour la 3ème fois, l'association des locataires, l'Union Nationale des Locataires Indépendants (UNLI), présente une liste de locataires à l'occasion du renouvellement des membres du conseil fédéral, collège locataires, au sein de la Fédération des Offices Publics de l'Habitat (OPH).

 La liste de l'UNLI se veut de rassembler les nombreux administrateurs indépendants et se faire leur porte-parole au sein de la Fédération des OPH et de son conseil fédéral. L'UNLI s'engage à informer régulièrement les administrateurs des locataires de toutes les décisions et positions prises par la Fédération des OPH.

 La Fédération des OPH est dirigée par un bureau et par un conseil fédéral comportant 63 membres dont seulement 6 administrateurs représentant les locataires.

 L'UNLI présente ainsi une liste de candidat représentant les locataires aux quatre coins de la France : Hauts-de-Seine, Meuse, Alpes-Maritimes, Yvelines, Morbihan, Seine Saint-Denis… Autant de départements qui seront représentés au sein du conseil fédéral !

 L'élection se déroule par correspondance et en un tour. Les électeurs recevront le matériel électoral par courrier autour du 21 septembre et auront jusqu'au 12 octobre pour voter. Dépouillement le mardi 18 octobre !

Le 12 septembre 2016

UNLI

4 décembre 2014

Victoire de l'UNLI à Hauts-de-Seine Habitat !

Tous les 4 ans les locataires des bailleurs sociaux sont appelés à élire leurs représentants dans les conseils d'administration de ces organismes.

Pour Hauts-de-Seine Habitat, principal bailleur social des Hauts-de-Seine, le scrutin a eu lieu le 2 décembre 2014. Sur les 27 863 locataires électeurs de Hauts-de-Seine Habitat seulement 18,19 % se sont exprimés.

L'UNLI, présidée par Michel VENEAU, est arrivée en tête de ce scrutin à la proportionnelle avec plus de 29 % (contre 22,4 % en 2010) et obtient deux des cinq sièges devant la CGL, la CNL et la CLCV.

Michel VENEAU (Meudon) et Marie-Claude KINPYNECK (Bois-Colombes) représenteront désormais, pour l'UNLI, les locataires au conseil d'administration de Hauts-de-Seine Habitat.

C'est une victoire importante pour l'UNLI qui est récompensée de son engagement pour la défense des intérêts et son écoute des locataires depuis 30 ans.

Le 4 décembre 2014

UNLI

19 juillet 2012

Blocage des loyers

Dans le principe l’Union Nationale des Locataires Indépendants (UNLI) est favorable à toutes les mesures qui bénéficient aux locataires.

Le blocage des loyers peut avoir des effets favorables dès lors qu’il ne déstabilise pas l’équilibre entre les droits légitimes des locataires et ceux des bailleurs.

Or, la difficulté aujourd’hui est la pénurie de logements. Si l’offre est forte, les loyers sont contenus.

Si la mesure de blocage des loyers dissuade l’investissement dans le logement locatif, la mesure risque d’avoir un effet d’aggravation de la pénurie et donc à terme d’être contraire aux intérêts des locataires et des candidats à la location.

Cette mesure est une application de la loi du 6 juillet 1989 (article 18) qui prévoit déjà que dans les zones où l’évolution des loyers est anormale par rapport au marché locatif, le Gouvernement peut par décret fixer le montant maximum d'évolution des loyers des logements vacants et des contrats renouvelés.

L’UNLI attend avec intérêt la publication du décret annoncé par la ministre et sera particulièrement attentive aux conditions d’application qui seront fixées pour ne pas se transformer en boomerang contre les locataires.

Le 19 juillet 2012

UNLI

2 juillet 2012

L'UNLI s'indigne de la polémique actuelle !

 

Suite à l'article paru dans Le Parisien du 2 juillet 2012, l’Union Nationale des Locataires Indépendants (UNLI) s’indigne de la polémique sur l’occupation des HLM qui consiste à stigmatiser des locataires aux revenus moyens et ne tient pas compte de la réalité du secteur social.

Il convient de rappeler que dans le secteur social il existe plusieurs catégories de logements (PLAI, PLUS, PSR, ILM et ILN). Pour chaque catégorie un plafond de ressources différent doit être impérativement respecté pour obtenir l’attribution d’un logement. Le prix de location, pour chaque catégorie, est aussi différent. La généralisation est donc caricaturale et ne correspond pas à la réalité.

Par ailleurs, en cas de dépassement du plafond de la catégorie un supplément de solidarité est appliqué qui a obligé de nombreux locataires à quitter leur logement social.

En outre, pour faire face à la pénurie de logements sociaux la loi Boutin a baissé les plafonds de ressources empêchant de nombreux demandeurs de logements d’accéder au logement social.

Les catégories de ménages aux revenus moyens n’ont donc plus accès au logement social, ne peuvent pas acheter compte tenu des prix pratiqués notamment en région Ile-de-France et à Paris, et rencontrent de très grandes difficultés pour louer dans le secteur privé notamment dans les zones tendues, les propriétaires exigeant 4 fois le montant du loyer en revenus et fixant des loyers prohibitifs.

Ce n’est pas un choix pour les ménages aux revenus moyens de vivre dans des logements sociaux mais une obligation.

Les chasser des logements sociaux et les repousser loin des centres villes, c’est créer des ghettos avec d’un côté les familles aisées et d’un autre les plus pauvres. C’est à terme créer une situation explosive entre ces ghettos.

L’UNPI en lançant cette polémique traduit la crainte des propriétaires qui ne peuvent augmenter les loyers à leur guise.

Le 2 juillet 2012

UNLI

Le 19 janvier 2012

Remise de prixL'UNLI RECOMPENSEE !



L’Union Nationale des locataires indépendants (UNLI) développe le concept de l'Eco-locataire Il consiste à mobiliser les locataires sur les gestes quotidiens en faveur de l'environnement notamment en limitant la consommation d'énergie et d'eau Ces gestes ont, par ailleurs, une influence directe sur les charges supportées par les locataires.

Dans le cadre du concours lancé par la Société COCA-COLA, l'UNLI a présenté un projet consistant à sensibiliser les locataires du secteur social du Plessis Robinson sur le tri des déchets ménagers.
Il s'agit, en concertation avec l'OPDH 92 et les locataires, d'implanter au bas des immeubles des composteurs des déchets verts.
Ce geste, éco-citoyen, réduira sensiblement le volume des déchets ménagers et contribuera ainsi à la réduction de gaz à effet de serre.

Au cours d'une cérémonie le 19 janvier 2012 en présence de Philippe PEMEZEC, Maire du Plessis-Robinson, la Société COCA-COLA a récompensé ce projet et remis à Michel VENEAU, Président de l'UNLI, une subvention pour sa réalisation.

Le 19 janvier 2012

UNLI

Le 19 décembre 2011

Le Sénat examine le 20 et le 21 décembre prochain le projet de loi renforçant les droits, la protection et l'information des consommateurs. Ce texte comporte de nombreuses dispositions qui concernent directement les locataires (article 2 et suivants). Ce projet de loi améliore sensiblement la législation qui régit les rapports entre locataires et bailleurs notamment en ce qui concerne l’état des lieux, le cautionnement, le remboursement du dépôt de garantie et le délai de résiliation du bail par le locataire dans les zones où la demande de logement est pressante et tendue. Par ailleurs, il permet de rectifier les erreurs relatives à la surface du logement loué et ainsi adapter le loyer à la surface réelle du logement. Toutefois, l’UNLI regrette que le texte de la commission du Sénat ait supprimé la disposition introduite par l’Assemblée Nationale dans le texte du Gouvernement qui prévoyait l’établissement d’une grille de vétusté. Cette dernière était susceptible de limiter les conflits entre locataires et bailleurs en fin de contrat sur les éventuels travaux de remise en état du logement.

L’UNLI regrette que ce projet de loi ne soit pas l’occasion d’améliorer le dispositif de vente des logements sociaux à leurs occupants en limitant le prix de vente à celui des opérations d'accession social qui est encadré réglementairement.

En effet, le code de la construction et de l’habitation prévoit que les logements anciens mis en vente par les offices de l’habitat (anciens office d’HLM) sont évalués par les services de France Domaine en prenant pour base le prix d’un logement comparable dans le même quartier. Or, ces évaluations sont très supérieures au prix des logements neufs vendus dans le cadre des opérations d’accession sociale dans les zones tendues et notamment dans l’agglomération parisienne.

Le 19 décembre 2011

UNLI

15 mars 2011

L’Assemblée nationale va examiner à compter le projet de loi de mobilisation pour le logement et la lutte contre l’exclusion.

 

  1. La France connaît certes une crise du logement grave qui laisse des familles sans logement et d’autres à vivre dans des conditions de logement indignes. Que le Gouvernement cherche les moyens pour remédier à cette crise est une bonne décision. Toutefois, certaines dispositions   de ce projet de loi sont dangereuses pour les locataires du secteur social et pour la mixité dans nos logements.

 La réduction des délais d’expulsion dans le logement locatif

 Tous les locataires ne sont pas de mauvaise foi. Certains connaissent la maladie, le chômage, des accidents de la vie qui peuvent à un moment déterminé les amener à une situation de détresse. Ce n’est pas le moment de leur appuyer sur la tête mais bien de les soutenir et trouver les solutions pour leur permettre de sortir de cette mauvaise passe.

 Développer la mobilité au sein du parc HLM

Les locataires ne sont pas responsables de la pénurie de logements sociaux. La mesure proposée vise directement les familles qui ont élevé plusieurs enfants. Ces familles, qui ont, pendant tout le temps de l’éducation de leurs enfants, fait des sacrifices et participé à la richesse de la France, mais n’auront plus le droit au maintien dans les lieux et devront quitter leurs logements. Soit, si leurs revenus ont augmenté, elles devront tenter de se reloger dans le secteur privé, ce qui n’est pas évident compte tenu du montant des loyers dans certaines grandes agglomérations. Soit, il leur sera proposé un logement plus petit et n’auront plus la possibilité de recevoir leurs enfants et petits-enfants.

 Abaissement des plafonds de ressources pour l’accès à un logement social

Ce n'est pas en baissant les plafonds d'accès aux logements sociaux que l'on rend les Français plus riches. Le SMIC est, comme son nom l'indique, un salaire minimum. Sa progression ne veut pas dire que les Français ont vu leur pouvoir d'achat augmenter mais que le coût de la vie a augmenté.

Baisser le niveau d'accès aux logements sociaux aurait pour conséquence :

  • de mettre en difficulté les locataires des logements sociaux qui répondent aujourd'hui aux conditions de ressources et demain n'y répondraient plus. Ces derniers pourraient être obligés de quitter leurs  logements. Cette situation entraînerait une pression sur le secteur locatif privé, des augmentations de loyers du secteur privé et empêcherait ces locataires à trouver un logement équivalent à celui qu'ils auraient été obligés de quitter ;
  • nuire à la nécessaire mixité sociale et déséquilibrer les quartiers à forte densité de logements sociaux ;
  • provoquer une pression plus forte sur les communes, répondant déjà aux objectifs de la loi SRU, qui accordent des aides spécifiques aux familles aux faibles revenus ;
  • créer une plus forte demande sur les aides aux logements et notamment l'APL et accentuer le déséquilibre des caisses  d'allocations familiales.

Ce n'est pas en cassant le thermomètre que l'on guérit un malade.

Ce n'est pas en interdisant l'accès aux logements sociaux des personnes aux revenus moyens, notamment dans les secteurs où les loyers du secteur privé sont les plus élevés, que le nombre de logements sociaux construits augmentera.

Ce n'est pas sur les locataires des logements sociaux et les candidats à ces logements qu'il faut faire porter la responsabilité de la crise du logement.

 

Pour les locataires des logements sociaux ces aspects du projet de loi ne peuvent que les inquiéter gravement.

Le 15 mars 2011

- L'UNLI s'inquiète pour le pouvoir d'achat des locataires ! Lire la suite
 

Indice de référence des loyers

2ème trimestre 2022 + 3,60 % 135,84
1er trimestre 2022 + 2,48 % 133,93
4ème trimestre 2021 + 1,61 % 132,62
3ème trimestre 2021 + 0,83 % 131,67
2ème trimestre 2021
+ 0,42 % 131,12
1er trimestre 2021 + 0,09 %
130,69
L’UNLI s’inquiète pour le pouvoir d'achat
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